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256-bit encryption Exp 8 juillet 2020 |
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Le 29 septembre 2008, fête des Anges, l'index Dow Jones a fait une "chute" de -777,7 du jamais vu dans toute l'histoire de Wall Street.
Le -777,68 sur cette photo est le résultat de la correction qui se fait 20 secondes après la fermeture. Seuls deux millièmes ont été perdus, d'où le 777,68. Photo R. Drew, AP, DR 2009
Alors le mystérieux -777,7, affiché sur le tableau du NYSE au moment précis où la cloche a sonné, et qui a hypnotisé le monde entier sur CNN, Bloomberg et surtout sur CNBC, est-il vraiment dû au hasard ? Ou bien est-ce un message factuel des Anges comme l'affirme Pierre Jovanovic dans son nouveau livre.
Pierre Jovanovic
777
La chute du Vatican
et de Wall Street
selon saint Jean
Apocalypse
1:19
du
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w w . j o v a n o v i c . c o m
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plus
de 1700 pages à lire
14 Rue de Naples, Paris 75008
www.jovanovic.com
Toute
reproduction, même partielle par quelque procédé
que ce soit, est interdite sans autorisation préalable. Une
copie par Xérographie, photographie, support magnétique,
électronique ou autre constitue une contrefaçon
passible des peines prévues par la loi du 11 mars 1957 et
du 3 juillet 1995, sur la protection des droits d'auteur.
Déclaration
de l'Archange Gabriel
dans
le Livre de Daniel (12:4 et 12:9)
Note
au lecteur
Si
le Christ a existé et si les Anges existent (ce dont je ne
doute pas une seule seconde) alors le Vatican ainsi que Wall Street
pourraient bien vivre ce que la France a connu après 1789 :
une période de terrible confusion. J'ai le sentiment d'avoir
démêlé les parties les plus importantes du texte
de Jean, celles qui permettent de comprendre ce que sont vraiment les
trois « bêtes » et pourquoi il a utilisé
le 666 et pas le 555, 444 ou 333.
Les
Anges lui ont vraiment montré notre époque, et Jean a
tenté de l'expliquer avec les mots d'un homme limité
par les connaissances de son siècle,
c'est-à-dire l'Âge de fer. Certes, il reste des zones
d'ombre, mais ce sera peut-être pour un autre livre.
Message
donné par la Vierge
lors
de l'apparition à La Salette
le
19 septembre 1846 :
il
y avait un nuage et sur ce nuage se trouvait quelqu'un semblable à
un Fils d'homme. Il avait sur sa tête une
Apocalypse
14:14
___________________________________________________
~ 1 ~
Une clé de 777
Le
29 septembre 2008, en la fête très précise des
Anges Gabriel, Michaël et Raphaël, quelque chose
d'extraordinaire s'était passé à Wall Street :
lorsque la cloche, non pas de l'église mais celle qui marque
la fin de la séance avait retenti, l'indice Dow Jones avait
fait le « saut de l'Ange » et affichait sur le
grand tableau noir un spectaculaire
Un
silence consterné, similaire à celui rapporté
dans l'Apocalypse de Jean, tomba alors sur la bourse de New York :
«
En
effet, toutes les machines à sous de la planète, sans
exception, ne délivrent le magot ultime que si les trois ou
quatre tambours s'arrêtent sur le nombre porte-bonheur 7,
donnant ainsi un joli alignement de 777 ou de 7777. Ainsi, à
Las Vegas, lorsqu'un
Et
si vous avez joué sur des « progressives
slots »,
le quadruple ou quintuple 7, le 77777, vous assure le super jackpot,
variant entre 1 et 4 millions de dollars, grâce au pot commun
constitué en temps réel par une centaine de machines
reliées entre elles toute l'année, et parfois au parc
d'autres casinos. J'ai même vu à Las Vegas des machines
connectées 24 heures sur 24 à celles de Reno et
d'Atlantic City, en plus de celles de Las Vegas.
Les
financiers de Wall Street, le plus grand «
Et
que dire alors du
Que
le mythique 777 sorte sur les 29.000 est déjà inouï
en soi. Mais que le 777,7 s'affiche, et cela le jour de la fête
des Anges et AUSSI de la nouvelle année juive, relève
clairement de l'action d'un autre monde. D'ailleurs, les gyrophares
et les sirènes de tous les médias de la planète
s'étaient déclenchés simultanément pour
annoncer le plus grand crash de Wall Street depuis la Grande
Dépression de 1929. Ce fut aussi ma conviction en assistant en
direct sur CNBC au surréaliste affichage du 777,7 sur l'écran
digital du New York Stock Exchange. En fait je refusais de croire ce
que je voyais, tellement cela me semblait impossible, irréel.
La toile invisible, celle qui régit la chance et les destins,
constituée des milliards de rouages impalpables de la
mécanique divine, avait tissé ce magnifique, mais
tragique
Le
jour suivant, ce
Les
financiers qui connaissaient les texte du Nouveau Testament en eurent
froid dans le dos : ce dragon rappelait un passage de
l'Apocalypse !
N'était-ce
qu'une pure coïncidence ?
Les
financiers ( catholiques ) de Wall Street avaient déjà
remarqué que la banque mythique Bear Stearns
Ils
ne pouvaient pas mieux tomber !
Une
date ô combien étonnante, sachant que Paulson avait en
fait appuyé, sans se douter, sur le bouton qui allait
déclencher en même temps une éruption volcanique
boursière, un Tchernobyl bancaire et surtout un tsunami
mondial de licenciements. Depuis ce jour, tous les banquiers et
gouvernements portent désormais sur leur dos une croix faite
d'emprunts toxiques
Imaginez
que seulement six mois plus tard, le 12 avril 2009, la banque
centrale anglaise sera même obligée d'utiliser sa
planche à billets pour sauver le pays de la banqueroute
et d'imprimer des centaines de millions de livres sterling, sans
aucune contre-partie, avec lesquels elle a ensuite racheté
les... Bons du trésor anglais !
C'est
comme si vous fabriquiez avec votre imprimante des billets de
100 euros avec lesquels vous iriez ensuite payer vos impôts,
et cela en toute légalité.
Le
Cela
commençait à faire une série de faisceaux
intéressants : le 777, les Anges, le dragon, le monstre,
etc. Intrigué, je me suis alors plongé dans le texte de
Jean afin de voir s'il n'y existait pas finalement une correspondance
entre ce
Certes,
faisant cela, je tombais moi aussi dans le piège temporel de
tous ceux qui ont utilisé l'actualité de leur époque
pour expliquer le texte de l'apôtre. Au XVIIIe
siècle, les Anglais se servaient déjà de la Bête
de l'Apocalypse pour l'identifier à Napoléon. Au début
du XXe siècle, cette Bête avait été
vue comme Hitler. En 1950, c'était l'URSS. Aujourd'hui, tout
le monde veut y voir la Chine puisque son emblème est le
dragon, son drapeau est de couleur rouge et surtout parce qu'elle
dispose exactement des « millions » de soldats
mentionnés dans ce texte écrit voici 1900 ans.
Et
si depuis 1900 ans, tout le monde s'était trompé ?
Et
si la Bête de l'Apocalypse était vraiment l'argent, le
système financier, le système bancaire ?
Et
si sur son front il y avait en fait écrit : « J'accepte
la Visa, Mastercard et American Express » ?
Jean
ne dit-il pas clairement que « personne
ne pourra vendre, ni acheter s'il n'est pas marqué par le
nombre de la Bête » ?
Après tout, c'est bien un système d'échanges de
marchandises, d'achats et de ventes, d'entrées et de sorties
d'argent qu'il décrit ! Ce n'est pas un rébus très
compliqué. Il dit noir sur blanc que « sans
la marque de la
Oui,
mais : à partir des années 1970 il y a eu une
révolution silencieuse ! Nous avons perdu, sans même
nous en rendre compte, la liberté de disposer de notre argent.
Avec les nouveaux services proposés par la banque, l'employeur
n'avait plus besoin de mobiliser une armée de comptables à
chaque fin de mois : il lui a suffi de déplacer le
problème des payes à l'agence du coin en distribuant un
bout de papier à la place des billets de 100 FF. Et cela
a permis à Renault de licencier les aides-comptables, devenus
inutiles.
Au
début pourtant, les premiers chèques de paye donnés
aux salariés n'avaient pas le coin droit barré par deux
traits. Un chèque « non barré »
permettait d'aller dans l'agence et de l'encaisser tout de suite en
liquide. Certes, cela obligeait les employés à se
rendre à la banque émettrice pour retirer leur paye.
Pour des raisons pratiques évidentes, cette nouvelle méthode
a naturellement forcé les salariés à ouvrir eux
aussi des comptes pour ne pas avoir à attendre au guichet
pendant une heure à chaque fin de mois ( oui, dans les
années 1970, nos parents faisaient patiemment la queue dans
l'agence, puisque les distributeurs n'existaient pas encore ).
Puis
progressivement, les banques ont cessé d'imprimer des chèques
« non barrés », obligeant les
récalcitrants à se soumettre à leur loi s'ils
voulaient toucher leur paye. Pour retirer de l'argent, on était
alors obligé de signer un chèque à l'ordre « de
soi-même ». Là-dessus, une loi obligea
particuliers et entreprises à payer par chèque toute
transaction dépassant un certain seuil. Trente ans plus tard,
des réglementations bancaires sont venues alourdir ce
processus et désormais, il vous est impossible de retirer plus
de 1.400 euros de votre compte d'un coup : « Il
faut prévenir le directeur 48 heures à l'avance ».
Tout
a été mis en place pour empêcher le déposant
d'un compte de disposer librement de ses fonds. Les banques ont
dépossédé les déposants. Le système
est maintenant verrouillé. Non seulement vous ne pouvez plus
acheter, ni vendre sans une banque et une carte, mais en plus vous ne
pouvez plus disposer de votre argent comme vous l'entendez. Vu sous
l'angle du texte de saint Jean, on peut affirmer que le système
de marquage dont il parle est bien en place. Notez aussi qu'il
n'était pas en place en 1970, ni en 1840, ni en 1710, etc.
Nous vivons aujourd'hui, et seulement aujourd'hui, ce que Jean a
décrit il y a 1900 ans.
Est-ce
vraiment une «
À
partir des années 1980, quelqu'un s'était donc
totalement interposé, immiscé entre vous et vos pièces
d'or. Désormais une grille, ou entité, vous sépare
de votre argent, une entité appelée banque, au début
discrète comme une fourmi suisse, mais ensuite de plus en plus
vorace comme un vampire roumain qui prend d'innombrables commissions
et frais au moindre mouvement de votre argent, vous donnant
l'impression qu'il participe au marathon de New York. Aujourd'hui, la
banque vous interdit même de toucher à votre salaire
sans son accord implicite ! Sachant qu'un « chiffre »
est aussi un logo, techniquement, nous portons tous le chiffre
d'une banque dans notre main droite, qu'elle s'appelle Banque
Kerviel, Lehman Brothers ou Banque du Saint Esprit, et cela à
chaque fois qu'on se sert de notre carte. Elle regarde, vérifie
et autorise le moindre de nos achats et de nos ventes.
Vous
allez me dire, à moins d'être un trafiquant de drogue,
et vu les services qu'elle rend, ce n'est pas gênant. C'est
vrai. L'entité qui s'appelle maintenant « le
banquier » a aussi le pouvoir de transformer notre vie
avec une baguette magique qui s'appelle ordinateur. Il va donner sa
« permission » aussi bien à mon
découvert qu'à votre crédit-voiture tout en
promettant également de faire « travailler votre
argent ». Grâce à sa capacité
d'accorder toutes sortes d'emprunts, le banquier est devenu
indispensable et omnipotent, alors que dans les années 1970,
c'est à peine si sa profession existait ! Et si ce
secteur a tellement changé en si peu de temps, c'est
uniquement grâce à cet outil qui permet de calculer, non
pas le nombre de la Bête, mais celui des débits et
crédits, l'ordinateur. Grâce à lui, en l'espace
de 30 ans seulement, les banquiers et les financiers sont
devenus les Maîtres du Monde
Mais
ce que personne n'avait prévu, c'est qu'à partir de
2004, les Maîtres du Monde
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