|
100 10 94
Kalevala, Rune 9
101
101 10 95
U. Holmberg, Finno-Ugric, Siberian Mythology (1927), p.370
102
102 10 96
« To Minerva » dans Orphic Hymns
(traduction A. Buckley, édité avec Odyssey of Homer,
1861).
103
103 10 97
H.S Palmer, Sinaï (1892). C'est probablement à cette
époque que la région montagneuse de Seir où
errèrent les Israélites reçut le nom d'Edom
(rouge), et que l'Erythrée (erythraios, rouge en grec) reçut
le sien. Le mer d'Erythrée était dans l'antiquité
le nom du golfe d'Arabie dans l'océan Indien, et il
s'appliquait aussi à la mer Rouge.
104
104 10 98
Pline, Histoire Naturelle, II, 57. Une autre « pluie »,
selon Plutarque, se serait produite sous le règne de
Romulus.
105
105 10 99
F.X Kugler, « Babylonische Zeitordnung »
(Vol. II de son Sternkunde und Sterndienst in Babel) (1909-1910),
p. 114.
106
106 10 100
D.F Arago, Astronomie Populaire (1854-1857), IV, 209 et
suiv. 
aérolithes observés en Chine et dans les pays voisins
(1819), p.6.
107
107 10 101
On estime qu'environ une tonne de poussière de météorites
tombe chaque jour sur le globe.
108
108 10 102
Le Talmud babylonien, section Berakhot 54b; autres sources dans les
Légendes, VI, 178, de Ginzberg.
109
109 10 103
Dans le Livre de Josué, il est dit que de « grosses
pierres » tombèrent du ciel, et elles sont
nommées « pierres de barad » .
« Le vieux mot égyptien pour grêle « ar »
s'applique aussi à une averse drue de sable et de pierres 
dans la lutte entre Horus et Seth, on représente Isis qui
dirige sur ce dernier ar n sa (« une grêle
de sable »). A. Macalister, « Hail »,
dans Hastings, Dictionary of the Bible (1901-1094). Note
du Jardin des Livres: le traducteur initial a remplacé tous
les «barad» (météorites) par «grêle».
Nous avons recorrigé ces changements par «barad»
(météorites). Velikovsky insiste sur le fait que
«barad» signifie «météorite»
et non pas grêle.
110
110 11 104
Papyrus Ipuwer, IX, 2-3
111
111 11 105
Ibid, 4, 14 ; 6, 1 ; 6, 3 
112
112 11 106
« World Cycles », Visuddhi-Magga, dans
Warren, Budhism in Translations, p.328
113
113 11 107
Alexander, Latin American Mythology, p.72.
114
114 11 108
Déjà avant Plutarque, le problème du pétrole
était très discuté. Relatant la visite
d'Alexandre aux sources de pétrole de l'Irak, Plutarque
écrivait « on a beaucoup discuté sur
l'origine de [ce naphte] ». Dans la suite du texte, il
manque une phrase qui expose une hypothèse, ou deux
hypothèses opposées. Le texte s'achève ainsi :
« ...ou si plutôt, la substance liquide qui
nourrit la flamme ne provient du sol, lequel est riche et
producteur de feu » Plutarque, Lives (trad. B. Perrin
1919), The life of Alexander, XXV.
115
115 11 109
Popol-Vuh, le livre sacré, éd. Brasseur
(1861), chap.III, p. 25
116
116 11 110
Brasseur, Histoire des nations civilisées du Mexique,
I, 55
117
117 11 111
Brasseur, Sources de l'histoire primitive du Mexique, p.28
118
118 11 112
E. Seler, Gesammelte Abhandlungen zur amerikanischen Sparch und
Altertumsgeschichte (1902-1923), II, 798.
119
119 11 113
Holmberg, Finno-Ugric, Siberian Mythology, p. 368
120
120 12 114
Ibid.p. 369. Aussi A. Nottrott, Die Gosnerische Mission unter
den Kohls (1874), p.25. Voir R. Andree, Die Flutsagen
(1891).
121
121 12 115
Papyrus Ipuwer II, 10 
122
122 12 116
Midrash Tanhuma, Midrash Psikta Raboti, Midrash Wa-Yosha. Autres
sources dans Ginzberg, Legends, II, 342-343 
123
123 12 117
The Wisdom of Solomon dans The Apocrypha and Pseudepigrapha of
the Old Testament, édit. R.H Charles (trad. Holmes,
1913).
124
124 12 118
Voir A. Schott, « Die Vergleiche in den Akkadischen
Königsinschriften», Mitt. d. Vorderasiat. Ges., XXX
(1925), 89, 106.
125
125 12 119
Holmberg, Finno-Ugric, Siberian Mythology, p.369.
126
126 12 120
Nombres, 16, 32-35. Cf Psaumes 106, 17-18.
127
127 12 121
Nombres, 3, 4 ; cf. Nombres 26, 61.
128
128 12 122
N. De Garis Davies, The Tomb of Antefoker, Vizier of Sesostris I
(1920), p.5.
129
129 12 123
Philon, On the eternity of the World, vol. IX., sect.
146-147 (trad F.H Colson, 1941).
130
130 13 124
Voir A. Olrik, Ragnarok (édit. German, 1922).
131
131 13 125
The City of God, liv. 18, chap. 8 (trad. Dods). Ed. P.
Schaff 1907.
132
132 13 126
Ginzberg, Legends, II, 360
133
133 13 127
Josephe, Jewish Antiquities (trad. H. St J. Thackeray, 1930), liv.
II, XIV, 5.
134
134 13 128
Ginzberg, Legends, II, 359
135
135 13 129
Targum Yerushalmi, Exode 10, 23 
ben Jokkai (1905), p. 38
136
136 13 130
F. L. Griffith, The Antiquities of Tel-el-Yahudiyeh and
Miscellaneous Work in Lower Egypt in 1887-88 (1890); G. Goyon,
«Les Travaux de Chou et les tribulations de Geb d'après
Le Naos 2248 d'Ismailia» , Kemi, Revue de Philol et
d'arch. Egypt. (1936).
137
137 13 131
La syllabe ha est, en hébreu, l'article défini,
et doit donc se placer entre Pi et Kiroth.
138
138 13 132
L. Frobenius, Dichten und Denken im Sudan (1925), p. 38
139
139 13 133
Kalevala (trad. J.M Crawford, 1888), p.13
140
140 14 134
Caïus Julius Solinus : Polyhistor, trad. Française
de M.A Agnant, 1847, chap. XI : « une nuit
épaisse recouvrit le globe pendant 9 jours consécutifs. »
D'autres traducteurs écrivent : « pendant
9 mois consécutifs » .
141
141 14 135
Brasseur, Sources de l'histoire primitive du Mexique, p.40
142
142 14 136
Andree, Die Flutsagen, p.115.
143
143 14 137
The Epic of Gilgamish (trad. R.C Thompson, 1928).
144
144 14 138
« The Anugita » (trad. K.T Telang, 1882) dans
le vol. VIII de The Sacred Books of the East.
145
145 14 139
Le Bundehesh, Pahlavi Texts (trad. E.W West) (The sacred
Books of the East), V (1880), I, p. 17.
146
146 14 140
Cf. « Yao », Universal Lexicon (1732-1754),
vol. 60.
147
147 14 141
La façon dont les Egyptiens évaluèrent la
durée de l'absence du Soleil dut être identique à
la méthode chinoise. Il est fort probable que ces peuples
calculèrent la durée de la perturbation comme étant
de 5 jours et 5 nuits (parce qu'une durée neuf ou dix fois
plus longue s'écoula entre un lever, ou un coucher du
Soleil, et le suivant).
148
148 14 142
Papyrus Ipuwer II, 11; III, 13.
149
149 14 143
Commentaire de Gardiner sur le Papyrus Ipuwer.
150
150 15 144
Exode, 12, 23. La version de la Bible anglaise (King James Version)
« et ne souffrira pas que le destructeur entre dans
vos maisons pour vous frapper » est incorrecte.
151
151 15 145
Diego de Landa, Yucatan, before and after the conquest
(trad. W. Gates 1937), p.18.
152
152 15 146
Papyrus Ipuwer v. 6, VI, 12
153
153 15 147
Eusèbe « Prepartion for the Gospel »,
liv. 9, chap. 27 (trad. E.H Gifford, 1903).
154
154 15 148
Cf. S. Bochart, Hierozoicon (1675), I, 344.
155
155 15 149
The Mishna of Rabbi Eliezer, éd. H.G Enelow (1933).
156
156 15 150
Ginzberg, Legends, II, 241. G. Naville (The Store-City of Pithom
and the Route of the Exodus, 1885) effectua des fouilles à
Pithom, mais il ne creusa pas au-dessous de la couche du Haut
Empire.
157
157 15 151
Inscription d'Hatshepsout à Speos, Artemidos,
Breasted, Ancient Records of Egypt, Vol II, Sec. 300.
158
158 15 152
Zohar II, 38a-38b.
159
159 15 153
Papyrus Ipuwer, X, 2
160
160 16 154
Exode 12, 37-38
161
161 16 155
Psaumes 77, 18-20
162
162 16 156
Deutéronome, IV, 34 
163
163 16 157
W. Max Müller, Egyptian Mythology (1918), p. 126
164
164 16 158
Levitique, 23, 32
165
165 16 159
K. Sethe, « Die ägyptische Zeitrechnung »
(Göttingen Ges. D. Wiss., 1920) pp. 130 et suiv.
166
166 16 160
Voir Codex Vaticanus No 3773 (B), analysé par E. Seler
(1902-1903).
167
167 16 161
Seler, Gesammelte Abhandlungen, II, 798, 800
168
168 16 162
Ideler, Historische Untersuchungen über die astronomischen
Beobachtungen der Alten (1806), p.26.
169
169 16 163
En français dans le texte. N. du T.
170
170 17 164
Brasseur, Manuscrit Troano (1869), p. 141.
171
171 17 165
Dans les documents de la collection de Kingsborough, les textes de
Gomara, Mitolinia, Sahagun, Landa, Cogolludo, et autres auteurs de
la période immédiatement postérieure à
la conquête, on trouve de fréquentes allusions au
déluge, aux ouragans et aux volcans, voir Gomara
Conquista de Mexico, II pages 261 et suiv.
172
172 17 166
Popol-Vuh, chap. III.
173
173 17 167
Cf. A. J. Carnoy, Iranian Mythology (1917).
174
174 17 168
Cf. Eisler, Weltmantel und Himmelszelt II, 453. Le Talmud
emploie parfois l'expression « vent cosmique »
, cf. le Talmud de Babylone, section Berakhot, 13.
175
175 17 169
Les 7 tablettes de la Création, 4e
tablette.
176
176 17 170
E.B. Tylor, Primitive Culture (1929), I, 322 et suiv.
177
177 17 171
Williamson, Religious and Cosmic Beliefs of Central Polynesia,
I, 36, 154, 237.
178
178 17 172
G. Rawlinson, The History of Herodotus (1858-1862), II, 225
note.
179
179 17 173
Exode 10, 19.
180
180 18 174
Exode 14, 21.
181
181 18 175
Cf. Isaïe 19,6
182
182 18 176
Voir supra.
183
183 18 177
Akerblad, Journal Asiatique, XIII (1834), 349 
Fresnel, ibid. 4e série, XI (1848) ; cf. Peyron,
Lexicon linguae copticae (1835), p. 304.
184
184 18 178
Moph et Noph désignent Memphis.
185
185 18 179
Nihongi Chronicles of Japan from the Earliest Times (trad.
W.G Aston), Transactions and Proceedings of the Japanese
Society, I (1896), 37 f., 47.
186
186 18 180
Williamson, Religious and Cosmic Beliefs of Central Polynesia,
I, 44.
187
187 18 181
Warren, « World Cycles », Buddhism, p.
328.
188
188 18 182
Cf J. Lalande, Abrégé d'Astronomie (1795), p. 340,
qui a calculé qu'une comète ayant une tête du
volume de la Terre et passant à 13.290 lieues soit environ
quatre fois le diamètre de la Terre, soulèverait des
marées océaniques à une hauteur de 2.000
toises soit environ 4 kilomètres.
189
189 18 183
P. Kirchenberg, La Théorie de la relativité
(1922), pp. 131-132
190
190 19 184
Andree, Die Flutsagen, p. 115.
191
191 19 185
H.S Bellamy, Moons, Myths and Man (1938), p. 277.
192
192 19 186
Exode 14, 20 
193
193 19 187
« Les
eaux formaient un mur à leur droite et à leur
gauche ». Exode 14, 22.
194
194 19 188
A. Calmet, Commentaire, l'Exode (1708), p. 159. « Les
eaux demeurent suspendues, comme une glace solide et massive » .
195
195 19 189
Rashi's Commentary to pentateuch (trad. Anglaise de M.
Rosenbaum et A.M Silberman, 1930).
196
196 19 190
Ginzberg, Legends, III, 22 
197
197 19 191
Psaumes 104, 6-8 
198
198 19 192
Job, 26, 11-12.
199
199 19 193
Psaumes 78, 12-13.
200
200 20 194
Psaumes 33, 7-8.
VOUS DEVEZ LIRE LE LIVRE DU Dr IMMANUEL VELIKOVSKY
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