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601
601 60 586
L.R Farnell, The Cults of the Greek States (1896), I, 281.
602
602 60 587
Ibid.
603
603 60 588
« On dit que la vierge Minerve est apparue au temps
d'Ogygès près du lac Triton 
qu'on l'ait nommée « tritonide ».
Saint Augustin, La Cité de Dieu, liv. 18, chap. 8.
604
604 60 589
Diodore de Sicile III, 55 (d'après la trad. C.H Oldfather).
605
605 60 590
Iliade, IV, 75 et suiv.
606
606 60 591
« A Prayer... to Ishtar », Seven Tablets
of Creation (d'après la trad. King) ; Farnell, The
Cults of the Greek States, I, 258 et suiv.
607
607 607 Note
JdL: Notons la similitude entre «Ashteroth» et
«Asteroide». Dans la même logique, Désastre
vient de l'italien disastro, mauvaise étoile...
608
608 60 592
Iliade, V, 735.
609
609 60 593
S. Langdon, Tammuz and Ishtar (1914), p. 97.
610
610 61 594
F. Cumont, Les Mystères de Mithra (3e
édition., 1913), p. 111.
611
611 61 595
Plutarque, Isis et Osiris, chap. LXII : « Ils
appellent souvent Isis du nom d'Athéna. » Voir G.
Rawlinson, The History of Herodotus, II, 542. Pline,
Histoire Naturelle, II, 37.
612
612 61 596
Le nom de Vénus ou Aphrodite appartenait à la Lune.
613
613 61 597
Saint Augustin, La cité de Dieu, liv. VII, chap. XVI.
Farnell, The Cults of the Greek States, I, 263, examine les
différentes hypothèses sur la nature physique
d'Ahténa, et, n'en pouvant accepter aucune, demande :
« Est-il prouvé qu'Ahténa, déesse
de la religion hellénique, personnifia jamais quelque partie
du monde physique ? ». Cicéron, De natura
deorum, I, 41, fait allusion à un traité du
stoïcien Diogène de Babylone, De Minerva, où
l'auteur offre une explication naturelle de la naissance d'Ahténa.
Cette oeuvre a disparu.
614
614 61 598
Cicéron, De natura deorum, II, 53.
615
615 61 599
« Chez les Egyptiens, on trouve une interprétation
identique : ils appellent souvent Isis du nom d'Athéna,
qui signifie à peu près : « Je suis
venue de moi-même », et indique un mouvement
procédant de lui-même. » Manéthon,
cité par Plutarque, Isis et Osiris, chap. LXII. Mais
cf. Farnell, The cults of the Greek States, I, 258 :
« Le sens de ce nom demeure inconnu ».
616
616 61 600
Cicéron, De natura deorum, II, 69.
617
617 61 601
La Cité de Dieu, liv. XVIII, chap. VIII.
618
618 61 602
Ibid., liv.XVIII, chap. XII.
619
619 61 603
Iliade, XIV, 170 et suiv. Dans la mythologie babylonienne, Mardouk
coupe Tiamat en deux, et fait d'une partie un voile pour le ciel.
620
620 62 604
T. Bergk, « die Gebnurt der Athene »
dans Jahrbücher für classische Philologie (1860),
chap. VI, fait allusion à la relation d'Ahténa avec
les « Quellen der ambrosia » (les sources de
l'ambroisie). Apollodore (La Bibliothèque) dit
qu'Ahténa « tua Pallas et utilisa sa peau »,
ce qui est peut-être une allusion à l'eveloppe de
Vénus qui formait originellement la queue de la comète.
621
621 62 605
Farnell, The Cults of the Greek States, I, 290.
622
622 62 606
Langdon, Babylonian Melonogies and the Semitic Calendars
(1935), p. 86-87.
623
623 62 607
« The Homeric Hymn to Minerva »,
d'après la traduction Buckley dans The Odyssey of Homer
with the Hymns.
624
624 62 608
Williamson, Religious and Cosmic Beliefs of Central Polynesia,
I, 123.
625
625 62 609
Ibid. p.132. W.W Gill, Myths and Songs from the South Pacific
(1876), p. 44 et ses Historical Sketches of Savage Life in
Polynesia (1880), p. 38.
626
626 62 610
Williamson, I, 122. Voir aussi J.A. Moerenhut, Voyages aux Iles
du Grand Océan (1837), II, p. 181.
627
627 62 611
Ptolémée Tetrabyblos (d'après la trad.
F.E. Robbins, 1940), I, 4.
628
628 62 612
Ibid., II, 8.
629
629 62 613
S.AB. Mercer, Horus, Royal God of Egypt (1942).
630
630 63 614
Langdon, Tammuz and Ishtar, p. 24.
631
631 63 615
W.M Müller, Egyptian Mythology, p. 56.
632
632 63 616
J. Bidez et F. Cumont, Les Mages hellénisés
(1938), II, 116.
633
633 63 617
C. Bezold dans F. Ball, Sternglaube und Sterndeutung (1926),
p. 9.
634
634 63 618
Voir « L'ombre de la Mort ».
635
635 63 619
Isaïe, 9, 2.
636
636 63 620
Section Shabbat 156a ; Midrash Rabba, Nombres, 21, 245a 
J. Levy, Wörterbuch über die Talmudim und Midraschim
(2e édit. 1924). Dans le Panthéon hindou,
Naga, ou les dieux-Serpents sont apparemment les comètes.
Cf. J. Hewitt, « Notes on the Early History of
Northern India », Journal of the Royal Asiatic
Society (1827), p. 325.
637
637 63 621
Amos, V, 26.
638
638 63 622
Voir la Vulgate du prophète Amos, et le commentaire de
Jérôme sur les prophètes.
639
639 63 623
Nombres, 21, 9.
640
640 64 624
Ceux qui étaient mordus par des serpents cherchaient la
guérison en regardant le serpent d'airain. Il est douteux
que la seule explication par la psychothérapie soit
satisfaisante. Les pratiques des adorateurs de serpents donnent
quelque vraisemblance à l'arrière-plan physiologique
des Nombres 21, 9. Mais mon propos n'est pas d'entrer dans ces
détails. Le fait que Moïse fabriqua une idole, en
violation du second Commandement du décalogue, n'est pas
forcément incompatible avec son monothéisme.
Aujourd'hui même, il existe de nombreuses Eglises où
des statues symboliques et même humaines sont adorées
par des gens qui se disent monothéistes. Mais, avec les
années, la présence du serpent de Moïse dans le
Temple de Jérusalem parut tellement répréhensible
aux prophètes, qu'au temps d'Isaïe le serpent fut brisé
en pièces. Bien qu'à l'origine son objet eût
été de guérir les gens, puisqu'il représentait
l'ange envoyé sous la forme de la colonne de feu et de nuée,
pour libérer Israël de l'esclavage, il devint par la
suite un objet d'idolâtrie.
641
641 64 625
Rois II, 17-18, 4. On trouve dans la littérature rabbinique
l'opinion astrologique que le serpent d'airain était une
image magique qui reçut son pouvoir de l'étoile sous
la protection de laquelle Moïse la façonna.
642
642 64 626
Langdon, Tammuz and Ishtar, p. 67.
643
643 64 627
Brasseur, Sources de l'histoire primitive du Mexique, pp.
81, 87.
644
644 64 628
Alexander, Latin American Mythology, p. 87.
645
645 64 629
Brasseur, Histoire des nations civilisées du Mexique,
I, 120.
646
646 64 630
Virolleaud « La déesse Anat »
Mission de Ras Shamra, IV.
647
647 64 631
Seler, Wandmalerein von Mitla (1895), p.45.
648
648 64 632
Langdon, Sumerian and Babylonian Psalms (1909), pp. 188,
194.
649
649 64 633
Langdon, Tammuz and Isthar, p.86.
650
650 65 634
F. Cumont, « La Fin du monde selon les mages
occidentaux », Revue de l'histoire des religions
(1931), p.41.
651
651 65 635
F.K Movers, Die Phönizier (1841-1856), I, 640.
Sources : Sozomen, The Ecclesiastical History II, 5;
Zosimus, I, 58.
652
652 65 636
Macrobe, Oeuvres (éd. Panckouke, 1845), I, 253.
653
653 65 637
H. Winckler, Die babylonische Geiteskultur (1919), p. 71.
654
654 65 638
C. Bezold dans F. Boll, Sternglaube und Sterndeutung (1926),
p. 12.
655
655 65 639
Hymns of the Atharva-Veda (trad. Bloomfield), Hymne IX.
656
656 65 640
Rois, I, 18 
XIII, I ; Philon de Byblos, Fragment 2, 25 
Die Sabier und der Ssabismus (1856), II, 660.
657
657 65 641
Jérémie, 7, 18 
arabischen Heidentums, p. 41.
658
658 65 642
The Fragments of Empedocles (trad. W.E Leonard, 1908),
Fragment 128, p. 59.
659
659 65 643
Williamson, Religious and Cosmic Beliefs of Central Polynesia,
II, 242.
660
660 66 644
Wellhausen, Reste arabischen Heidentums, pp. 40-44, 115.
661
661 66 645
Manuscrit Ramirez.
662
662 66 646
Dorsey,
The sacrifice to the Morning Star by the Skidi Pawnee. La
cérémonie est décrite plus loin.
663
663 66 647
Id.
664
664 66 648
Movers, Die Phönizier, II, 652.
665
665 66 649
Luckenbill, Records of Assyria, II, Sec. 829.
666
666 66 650
Le livre de Sothis dans Manetho (d'après la trad .
W.G Waddell, Loeb Classical Library, 1940) déclare
qu'au temps du roi Hyksos Aset, « le taureau divinisé
est appelé Apsis ».
667
667 66 651
L'inscription Apis de Necho-Wahibre dans Breasted, Records of
Egypt, IV, 976 et suiv.
668
668 66 652
Pline, Histoire Naturelle, II, 37.
669
669 66 653
Hymne à l'averse de miel dans Hymns of the Atharva-veda,
IX.
670
670 67 654
L.L. Sundara Ram, Cow-protection in India (1927), p. 56.
671
671 67 655
Mahabharata, XIII.
672
672 67 656
Ram, Cow-protection in India, p. 43.
673
673 67 657
« Visistha Dharmasastra ». Voir Ram,
Cow-Protection in India, p.40.
674
674 67 658
M. Monier-Williams, Brahmanism and Hinduism (1891), p.
317-319.
675
675 67 659
Ram, Cox-Protection in India, p. 58.
676
676 67 660
Bundahis (dans le Pahlavi Texts, trad. West), chap. III.
677
677 67 661
Exode 8, 17.
678
678 67 662
Exode, 8, 24.
679
679 679 Note
JdL: la Bible la plus courante dans les pays anglo-saxons.
680
680 680 Note
JdL: insecte dont la femelle pique les grands mammifères
(cheval, vache) pour sucer leur sang.
681
681 68 663
Philon, Vita Mosis, I, 23.
682
682 68 664
Nombres 21, 6, 7 
683
683 68 665
Exode 23, 28 
684
684 68 666
Williamson, Religious and Cosmic Beliefs of Central Polynesia,
I, 45.
685
685 68 667
Une altération des conditions atmosphériques produit
une prolifération des insectes.
686
686 68 668
II Rois, 1,2, et suiv.
687
687 68 669
Mathieu 10, 25 ; 12, 24, 27 ; Marc 7, 22 
15 et suiv.
688
688 68 670
Bundehesh, chap. III, sec. XII. Cf H.S Nyberg «Die
Religionen des alten Iran», Mitteil. D.
Vorderasiat.-egypt. Ges., vol. XLIII (1938), p. 28 et suiv.
689
689 68 671
Iliade, XXI, 385 et suiv. Dans la mythologie grecque, Métis,
future mère de Pallas, prit la forme d'une mouche.
690
690 690
Note JdL: La mouche de sable a une morsure épouvantable et
qui ne cicatrise qu'au bout de dix ans. Certaines plages des
Seychelles sont désertes toute l'année car
fréquentées par ces mouches. Le touriste ignorant,
pensant trouver une plage idyllique déserte devient alors
une proie parfaite et repart avec un souvenir cuisant.
691
691 69 672
Voir Kunike « Sternmythologie », Welt
und Mensch, XI-X.
692
692 69 673
A. Werner, African Mythology (1925), p. 135.
693
693 69 674
Zend-Avesta, Part.II, p. 95.
694
694 69 675
Sahagun, Historia general de las cosas de la Nueva Espana,
liv. VIII, chap.III.
695
695 69 676
Ibid.
696
696 69 677
Alexander, North american Mythology, p. 223.
697
697 69 678
G.A Dorsey, The Mythology of the Wichita (1904).
698
698 698
Note JdL: il s'agit des baleines.
699
699 69 679
Alexander, North American Mythology, p. 60.
700
700 70 680
L. Frobenius, Dichten und Denken in Sudan (1925).
VOUS DEVEZ LIRE LE LIVRE DU Dr IMMANUEL VELIKOVSKY
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